Il refuse de participer aux fêtes organisées par l'entreprise où il travaille : il est licencié
Il n'est pas rare d'organiser des fêtes de Noël, des dîners de fin d'année, des moments conviviaux entre collègues de travail, et il n'est pas rare que l'entreprise elle-même prenne en charge la planification de tels événements. Mais nous savons tous qu'il n'est jamais facile de s'entendre avec tout le monde sur le lieu de travail et, par conséquent, il peut y avoir des personnes qui n'aiment pas "faire la fête" avec leurs collègues et leurs supérieurs.
C'est exactement ce que pensait l'homme au centre de cette histoire... malheureusement que ses patrons n'étaient pas du même avis et n'ont pas apprécié qu'il refuse leur invitation.
via New York Post
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M. T, comme se fait appeler le salarié au centre de l'histoire, a raconté comment son refus de partager l'esprit de fête de ses patrons lui a coûté cher. L'homme était employé par une entreprise depuis 2011 et sa carrière se déroulait très bien. Il était attentif, précis et compétent, des qualités qui lui ont valu une promotion après trois ans. Dommage qu'il ait été licencié déjà l'année suivante.
La raison ? Il n'aimait pas participer aux fêtes organisées par ses supérieurs et ces derniers n'aimaient tout simplement pas cette attitude. Ils ont donc décidé de se passer de leur précieux employé et l'ont renvoyé. De son côté, l'employé n'a pas accepté ce qu'il considère comme une véritable injustice et a décidé d'intenter une action en justice.
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S'adressant à un tribunal, l'ancien employé a déclaré qu'il ne partageait nullement les coutumes de l'entreprise en matière de fêtes et de soirées et qu'il ne voulait pas y participer, mais que cela avait agacé ses supérieurs. Ces derniers l'avaient d'ailleurs renvoyé en prétextant qu'il était inadapté au poste, ennuyeux et qu'il ne s'intégrait pas dans l'ambiance de fête qu'il essayait souvent de créer pour renforcer le groupe de travail.
Le différend entre l'employé et l'employeur a duré plusieurs années, mais le tribunal a finalement donné raison à l'employé, arguant que personne ne devrait être forcé de "s'amuser" et que chacun est libre de choisir de participer ou non à des événements non professionnels. L'affaire s'est également soldée par une demande d'indemnisation de 3 000 $, qui pourrait aller beaucoup plus loin.
Vous êtes-vous déjà trouvé dans une telle situation et qu'auriez-vous fait à sa place ?
