La mère de cette fille atteinte d'un cancer supplie les gens de ne pas acheter en masse les masques de protection

par Baptiste

18 Mars 2020

La mère de cette fille atteinte d'un cancer supplie les gens de ne pas acheter en masse les masques de protection
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Les inquiétudes concernant la propagation du coronavirus ont occupé tous nos esprits ces dernières semaines. Alors que le nombre de cas confirmés continue d'augmenter, nos inquiétudes sur ce que nous devrions (et ne devrions pas) faire pour l'empêcher continuent également de croître.
Le récent appel sur Facebook d'une mère américaine est devenu viral pour nous rappeler toutes les raisons pour lesquelles nous devrions modérer l'achat de masques de protection, même s'ils peuvent nous faire nous sentir plus en sécurité.

via Yahoo News

She hates this mask. But it’s extremely important she has it. She and other kids whose immune systems are comprised...

Pubblicato da Christine Fego Martin su Martedì 3 marzo 2020

Partout dans le monde, les gens prennent d'assaut les pharmacies et les établissements médicaux pour acheter des masques de protection. Christine Fego Martin s'est alors sentie obligée d'en parler dans un message sur son profil Facebook le 3 mars 2020 : "Elle déteste ce masque [...] Mais il est extrêmement important qu'elle l'ait. Elle et d'autres enfants dont le système immunitaire est compromis parce qu'ils sont appelés à combattre le plus grand monstre de tous les temps : le cancer". Christine parle de sa fille, immunodéprimée à cause du cancer qu'elle combat...

Christine s'en prend ensuite à ceux qui achètent des masques de protection, n'en laissant pratiquement aucun pour ceux qui en ont vraiment besoin ; son message continue : "Prenez votre peur et dédiez la à vous laver les mains, à nettoyer votre chariot ou à vous désinfecter les mains après avoir touché des objets. Utilisez votre coude pour appuyer sur le bouton de l'ascenseur... soyez plus conscients, afin que les enfants et les familles qui ont besoin de ces masques préventifs puissent y avoir accès".

Un point que Christine soulève et qui donne beaucoup à réfléchir. Cela nous fait aussi revoir nos priorités en cas de psychose et d'urgences sanitaires comme le coronavirus.

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