Être proche de la mer peut aider notre cerveau à nous faire sentir plus détendu et réfléchi : l'étude
La mer a des effets positifs sur la circulation, les maladies rhumatismales, les pathologies respiratoires, etc., mais aussi le simple fait de regarder et d'écouter les vagues procure un état de bien-être psychologique et physique. Beaucoup de gens peuvent témoigner du sentiment de paix et de bonheur que l'on ressent devant un tel spectacle naturel. Ce que nous savions déjà par instinct, a maintenant été confirmé par une étude scientifique qui explique en détail le pourquoi tout cela.
via Global News
L'observation de la mer stimule le cortex préfrontal, c'est-à-dire la zone du cerveau responsable de l'émotivité et de l'introspection, le lieu de l'esprit où les émotions sont traitées et la conscience de soi est cultivée. L'activation de cette région du cerveau génère des sentiments de bonheur et de tranquillité, renvoyant ainsi également sur la partie physique.
Le son des vagues simule également ce qui était perçu dans l'utérus et évoque la protection et la sécurité. De plus, il faut se rappeler que le corps est composé d'un pourcentage considérable d'eau, donc la proximité de cet élément est un appel biologique, magnétique, un retour à la condition primordiale.
Comme si cela ne suffisait pas, il est presque évident de dire que le contact avec la nature libère l'essence de la pensée, augmente les niveaux de sérotonine et calme l'anxiété car on est loin des contextes habituellement associés au stress et au chaos. Pour toutes ces raisons et bien d'autres de nature subjective, nous devrions essayer de retourner à la mer chaque fois que possible.
Le mouvement éternel de l'océan a un pouvoir de guérison efficace qui doit être pleinement exploité, pour retrouver l'équilibre et recharger les facultés mentales. La mer est en détail ce qui a le plus d'impact dans la nature, mais en principe, tout scénario en dehors de ce à quoi l'on est habitué dans les métropoles bondées est positif pour le système nerveux et pour la santé de l'organisme. Encore une fois, la science ne fait essentiellement que valider ce que l'homme a toujours su intuitivement et oublie trop souvent en s'éloignant de son état le plus authentique.
